Dans le Cantal, certains noms résonnent comme une promesse d’authenticité, de savoir-faire et de convivialité. Fabienne Gastal en fait partie.
Aux commandes de deux établissements réputés — l’Hostellerie La Bruyère à Chalvignac et l’hôtel-restaurant L’Écu de France à Mauriac — elle incarne à merveille l’esprit entrepreneurial local, enraciné dans les traditions tout en regardant vers l’avenir.
Une hôtelière au cœur d’un patrimoine vivant
Depuis plus de 30 ans, Fabienne et son mari Eddie accueillent les visiteurs dans une magnifique demeure du XVIIIè siècle nichée au cœur de deux hectares de verdure : l’Hostellerie La Bruyère.
Cet écrin de calme à Chalvignac propose 11 chambres spacieuses et élégantes, parfaites pour une parenthèse bucolique. L’endroit est aussi prisé pour les réceptions, mariages et séminaires.
Bref, une adresse qui respire la générosité cantalienne.
L’Écu de France : terroir et gastronomie à Mauriac
À quelques kilomètres de là, le couple gère également L’Écu de France, un hôtel-restaurant installé dans une superbe bâtisse en pierre volcanique typique du coin.
Cuisine semi-gastronomique, produits frais et de saison, ambiance chaleureuse… ici, on mange avec le cœur, et surtout avec des produits du cru. Les gourmands comme les fins palais s’y retrouvent, et souvent, ils y reviennent.
Une touche d’authenticité en plus : l’élevage
Comme si cela ne suffisait pas, Fabienne Gastal est aussi exploitante agricole à Chalvignac, où elle élève des ovins et des caprins.
Une activité qui complète parfaitement son engagement pour une cuisine locale et une hospitalité sincère, ancrée dans la terre. Et qui donne à ses établissements cette saveur particulière qu’on ne trouve qu’ici : celle de la vérité.
Une femme de terrain(s)
Polyvalente, investie et profondément attachée à son territoire, Fabienne Gastal est bien plus qu’une hôtelière ou une restauratrice.
Elle est une ambassadrice du Cantal, au carrefour de l’accueil, du goût et de la terre. Et dans un monde où l’authenticité devient rare, elle nous rappelle que le vrai luxe, c’est peut-être simplement ça : bien manger, bien dormir, et se sentir chez soi — même loin de chez soi.